Dans ce nouveau blog, je vous présenterai toujours des fleurs, des photos d'un peu de tout avec des explications des lieux visités, pour rendre votre visite attrayante.
Bonjour à vous qui passer ici, je vous avais dit avoir vu beaucoup de bâtiments pendant les journées du patrimoine, aussi je vous propose de découvrir l'église St-Étienne du Mont dans le 5ème arrondissement de Paris.
sur la montagne Ste-Geneviève juste en face de l'entrée du lycée Henri IV, que je vous proposerai aussi de visiter.
Cette église est une petite merveille dont la première pierre fut posée le 2 août 1610, par Marguerite de Valois, ex-épouse d'Henry IV, la première femme divorcée, qui donna trois mille livres pour la construire.
La façade est assez surprenante avec son péristyle gréco romain, ses colonnes, son fronton triangulaire et autre curiosité le fronton courbe juste au dessus. Nous y découvrons l'antiquité et l'élégance de la renaissance Française.
Ceci a été trouvé sur le net
L'architecte inconnu de cette fantaisie de pierre en a si bien calculé les proportions, il l'a, nous ne disons pas surchargée, mais comblée de tant d'ornements délicats, fouillés avec un art si achevé, qu'il en a fait non pas un modèle, mais un inimitable chef-d'œuvre. L'église Saint-Étienne du Mont a une histoire, qui n'est qu'un chapitre de l'histoire générale de la montagne Sainte-Geneviève, le mons Leucotitius de la Lutèce romaine.
Mais la merveille architecturale de Saint-Étienne du Mont, l'Europe artiste la proclame : c'est le jubé de marbre blanc, construit et sculpté par Biart le père, artiste, célèbre du XVIIe siècle.
(Je suis restée bouche bée devant cette merveille)
Il est formé d'un arc unique qui traverse le chœur, desservi par des escaliers en spirale contenus dans des tourelles à jour, à peine appuyés par de sveltes colonnettes chargées de lierre. Des anges, des palmes, des rinceaux, des entrelacs, des mascarons décorent les archivoltes et les frises.
Il se complète par deux portes qui ferment les bas côtés du chœur. Les vantaux de ses portes sont à claire-voie, surmontés d'entablements où sont assis, au milieu de frontons triangulaires, deux adorateurs en pierre d'une exécution charmante. Le jubé de Saint-Étienne, cette œuvre d'art incomparable, est aujourd'hui le seul qui subsiste dans les églises de Paris depuis que la cathédrale a perdu le sien par une démolition sacrilège.
Voici la chaire de Ste Genevière, sa chasse et ses relique avaient été profanées en 1793 par la commune de Paris qui avait fait brûler les os de la sainte en place de Grève. La chasse a été fondu, grilles et revêtement parti aux 4 vents de cette période, mais la plaque de marbre sur laquelle reposait la sainte depuis l'an 512 fut sauvegardée sous les décombres et retrouvée en 1802 lorsque les églises rouvrirent.
(Je ne me suis pas attardée sur cet endroit car une jeune femme en pleur y faisait longuement ses dévotions et j'ai préféré m'éclipser )
L'authenticité de la présence de la sainte fut approuvée par 6 vieux génovéfains et une ordonnance du 20 décembre 1803de Monseigneur de Belloy archevèque de Paris, autorisa la translation dans l'église St-ÉTienne du Mont pour y célébre le culte de St-Genevière comme dans l'ancien temps
La lumière est omniprésente dans ce lieu, comme vous le constatez avec les 4 rangées de fenêtres avec des vitraux de toutes beauté
je sais je sais ne râler pas (lol) je ne peux m'empécher de vous mettre ce genre de photo mais j'adore les prendre car je trouve que cela permet de mieux appréhender les volumes et en plus c'est beau.
Je vous souhaite à toutes et tous un très bon week end.
Au plaisir de vous lire ...prochainement. ♥
Pas d'inquiétude à avoir, je vais très bien, mais toujours aussi peu de temps de disponible
pour le blog, je suis en pleine création peinture, je m'éclate actuellement avec les vagues en colère et jouer avec l'écume en aquarelle et acrylique, c'est passionnant et j'ai en préparation sur
une toile une femme marocaine que j'espère pouvoir vous montrer bientôt.